Ce visuel pédagogique propose en un coup d’œil d'identifier la consommation d'énergie de la nouvelles région - et des ex-régions ! - en un coup d'oeil.
Dans le cadre de la transition nécessaire vers l'économie circulaire, le recyclage des déchets, et la réincorporation des matières premières contenues dans ceux-ci dans la production, est un pilier indispensable. Il s'agit d'un enjeu de développement durable, dans un monde où la consommation croissante de ressources naturelles pose imminemment la question des limites de la planète. Mais c'est aussi un enjeu économique et industriel stratégique, pour la France, et plus largement pour l'Europe. Sur un territoire qui dépend essentiellement d'importations pour la plupart des matériaux et énergies fossiles nécessaires à la production de ses biens matériels, le recyclage est un levier d'indépendance, de préservation de valeur, et donc d'activité et d'emplois.Métaux, papier, plastique, verre, bois, granulats: combien en produit-on en France? Combien sont importés et exportés? Quels sont les quantités de déchets produites? Et combien, enfin, sont réincorporés dans la production? En bref, dans quelle mesure l'industrie française est-elle «circulaire» du point de vue des flux de ces matériaux? Le Bilan National du Recyclage (BNR) 2005-2014 est un recueil de données et d’analyses, portant sur une période glissante de 10 années, et faisant le point sur les évolutions du recyclage de ces différents matériaux (métaux ferreux et non ferreux, papiers, cartons, verre, plastiques, inertes du BTP et bois) en France. Il évalue également la contribution des différentes filières à Responsabilité Élargie des Producteurs (REP) au recyclage, et en quantifie les bénéfices environnementaux.
D’ici l’été 2019, les Régions devront élaborer un Schéma Régional d’Aménagement, de Développement Durable et d’Equilibre Territorial (SRADDET). Ce document vise à mettre en cohérence les actions de politiques locales en matière d’énergie, climat, biodiversité, transport et déchets. Il est d’autant plus important qu’ilse décline ensuite dans la planification locale (PLUi, SCoT, PCAET).Que contient-il ? Comment en faire un document ambitieux qui fasse avancer les Régions sur la voie de la transition écologique ? Comment, en tant qu’association de protection de la nature et de l’environnement, s’y impliquer ?Cette nécessaire mise en cohérence entre les enjeux liés au climat et à la biodiversité doit aussi se faire aux échelles locales : cette publication vise aussi à donner des exemples de synergies à mettre en oeuvre dans la planification intercommunale.
Cette brochure pédagogique explore l'évolution du cadre réglementaire avec l'application de l'article 179 de la Loi de transition énergétique pour la croissante verte : données énergétiques mises à disposition, collectivités concernées en fonction de leurs compétences, modalités d'accès aux données.Titre complet : Les données énergétiques territoriales pour la planification et l'action énergie-climat / Les dispositifs pour accompagner les collectivités territoriales dans la transition énergétique N°1.
Dans la droite ligne de ses prédécesseurs, le scénario négaWatt 2017 - 2050 est un exercice riche et complexe. La présente synthèse ne saurait faire le tour des questions qui se posent déjà et ne manqueront pas se poser à l’avenir. Elle en présente toutefois l’essentiel, depuis les points forts de ce nouveau scénario jusqu’à ses impacts environnementaux et socio-économiques, en passant par sa méthodologie et l’explication de son contenu sur la demande et l’offre d’énergie. Cet exercice collectif, aussi prenant que passionnant pour ses auteurs, n’a d’autre but que de contribuer à un monde apaisé et plus sûr, en portant avec confiance le message de la nécessité, de la faisabilité et de l’opportunité d’engager enfin, au bon niveau et à la bonne vitesse, la transition énergétique.
Dans le but de limiter le recours aux énergies fossiles et ainsi de freiner le réchauffement climatique, les filières de production d'énergie renouvelable sont en plein essor grâce aux politiques publiques mises en place en France et dans le monde. Avec la maturité croissante des différentes filières, leurs coûts de production évoluent à la baisse. Les annonces médiatiques sur ce sujet sont nombreuses et illustrent la compétitivité croissante des énergies renouvelables dans le monde. Toutefois, ces coûts varient selon de nombreux facteurs (progrès technologiques, perception du risque par les investisseurs, lieu d'implantation...) dont les impacts sont plus ou moins importants. Afin d'objectiver ces baisses de coûts et de publier des chiffres représentatifs des conditions de développement françaises, l'ADEME réalise ce document présentant les plages de variations des coûts de production actuels de chaque filière en France, pour la production de chaleur et d'électricité renouvelables.
La facture énergétique territoriale, au sens de l’étude exploratoire produite par le Cerema, peut se définir comme la différence annuelle, termes de valeur monétaire, entre, d’une part, les consommations d’énergie tous secteurs d’un territoire (agriculture, industrie, résidentiel tertiaire, transports) et les ventes d’énergies renouvelables de ce même territoire.
Le guide PCAET : comprendre, construire et mettre en oeuvre qui explique et développe toutes les composantes d'un PCAET, à l'appui de nombreux exemples de leviers d'actions, de compléments techniques et bibliographiques. Plus opérationnel, sans être exhaustif, il est destiné, aux élus comme aux équipes en charge de la mise en oeuvre de la politique climat-air-énergie du territoire ainsi qu'aux professionnels qui les accompagnent.
Retrouvez la synthèse des chiffres sur la production de biogaz en Hauts-de-France : énergies produites, nombre d'installations en service, carte de localisation...
Méthanisation, de quoi parle-t-on ?Il s’agit d’un procédé biologique par lequel la matière organique est dégradée afin de produire du biogaz. Au sein d’un site de méthanisation, le digesteur « digère » les déchets par un processus de fermentation anaérobie (en l’absence d’air), grâce à la présence de bactéries. S’en dégage un biogaz, composé de 40 à 70 % de méthane (CH4), de 30 à 60 % de dioxyde de carbone (CO2) et d’eau. Pour produire le biométhane (consommable), le CO2 et l’eau doivent être extraits du biogaz, c’est ce qu’on appelle « l’épuration ». Enfin, le résidu issu de la méthanisation est appelé le « digestat ».