Ce document est issu d’une livraison effectuée par Météo-France pour le compte du CERDD en 2019.L’objectif de ce document est de permettre d’avoir l’ensemble des informations climatiques connues sur une zone climatique précise.Avec l’accord de Météo-France, le CERDD a réalisé plusieurs documents synthétisés par zones en reprenant les éléments du Diagnostic climatique CERDD complet : http://www.observatoireclimat-hautsdefrance.org/Les-ressources/Ressources-documentaires/Diagnostics-climatiques-Meteo-France. Les contenus sont donc les mêmes mais ont été mis en forme.Dans les parties « Analyse des indicateurs annuels », le CERDD a complété les informations déjà fournies par Météo-France issues des tableaux et des analyses générales, en détaillant par station et par paramètre.Ce diagnostic porte sur la zone 3 : Collines de l'Artois.
Ce document est issu d’une livraison effectuée par Météo-France pour le compte du CERDD en 2019.L’objectif de ce document est de permettre d’avoir l’ensemble des informations climatiques connues sur une zone climatique précise.Avec l’accord de Météo-France, le CERDD a réalisé plusieurs documents synthétisés par zones en reprenant les éléments du Diagnostic climatique CERDD complet : http://www.observatoireclimat-hautsdefrance.org/Les-ressources/Ressources-documentaires/Diagnostics-climatiques-Meteo-France. Les contenus sont donc les mêmes mais ont été mis en forme.Dans les parties « Analyse des indicateurs annuels », le CERDD a complété les informations déjà fournies par Météo-France issues des tableaux et des analyses générales, en détaillant par station et par paramètre.Ce diagnostic porte sur la zone 4 : Flandres Hainaut et Plaine picarde.
Ce document est issu d’une livraison effectuée par Météo-France pour le compte du CERDD en 2019.L’objectif de ce document est de permettre d’avoir l’ensemble des informations climatiques connues sur une zone climatique précise.Avec l’accord de Météo-France, le CERDD a réalisé plusieurs documents synthétisés par zones en reprenant les éléments du Diagnostic climatique CERDD complet : http://www.observatoireclimat-hautsdefrance.org/Les-ressources/Ressources-documentaires/Diagnostics-climatiques-Meteo-France. Les contenus sont donc les mêmes mais ont été mis en forme.Dans les parties « Analyse des indicateurs annuels », le CERDD a complété les informations déjà fournies par Météo-France issues des tableaux et des analyses générales, en détaillant par station et par paramètre.Ce diagnostic porte sur la zone 5 : Avesnois-Thiérache.
Cette carte illustre dans quelle mesure la population de la région Hauts-de-France est exposée aux risques naturels susceptibles d’augmenter avec les changements climatiques (tempêtes, sécheresses, feux de forêt, inondations, mouvements de terrain tels que le retrait gonflement d'argiles ou les coulées de boue). Elle représente la connaissance actuelle et qualitative de ces risques. Plus la densité de population est forte et plus le nombre de risques climatiques identifiés par commune est élevé, plus l’indice est fort.Ces risques sont susceptibles de s'accroître avec le changement climatique, dans la mesure où certains événements et extrêmes météorologiques pourraient devenir plus fréquents, plus répandus et/ou plus intenses. Aussi, il est nécessaire de mettre en place des actions d’adaptation dans les territoires exposés pour limiter leur vulnérabilité aux risques climatiques. Les indices d'exposition sont classés ainsi : - aucun risque climatique déclaré - très faible - faible - moyen- fortCette carte a été réalisée en suivant la méthodologie développée en 2016 (contrairement à la précédente édition qui suivait la méthodologie de 2005 : http://www.observatoireclimat-hautsdefrance.org/Les-ressources/Ressources-documentaires/Exposition-des-populations-aux-risques-meteo-sensibles). Source : MTES, Gaspar* 2017 - Insee RP 2014, IGN, BD Carto® 2016. Traitement SDES (2019) * : Gestion ASsistée des Procédures Administratives relatives aux RisquesCartographie : Agence Hauts-de-France 2020-2040 / Sigac - 14 février 2020 n° 1723-1
Le Haut Conseil pour le Climat publie son rapport annuel 2020Le rapport annuel 2020 du Haut Conseil pour le Climat ("Redresser le cap, relancer la transition") fait le point sur l’évolution des émissions de gaz à effet de serre en France et sur les politiques climatiques mises en place. Il constate des progrès dans la gouvernance, un accroissement des annonces mais pas d’avancée structurelle quant au rythme de baisse des émissions.Des efforts encore insuffisants pour respecter les budgets-carbones futursLes émissions de la France ont diminué de 0,9% en 2019, ce qui est similaire aux années précédentes et encore loin des –3% attendus dès 2025. Les quatre grands secteurs émetteurs, le transport (30%) suivi de l’agriculture, le bâtiment et l’industrie, ont tous raté le premier budget carbone (2015-2018). La baisse temporaire des émissions lors du confinement est marginale par rapport aux efforts à accomplir.Le rapport appelle à conforter l'évaluation des lois et politiques en regard du climat, à l'image de mesures comme le budget vert, qui sera mis en œuvre sur le prochain projet de loi de finances.Il rappelle l'importance de prendre en compte les enjeux de justice sociale (vulnérabilité, emploi, bien-être,...), qui peuvent être un frein à la mise en œuvre de politiques climatiques. La Convention citoyenne pour le climat démontre que des personnes d’horizons très différents peuvent converger en quelques mois sur des propositions d’envergure pour le climat et la justice sociale.Les régions, cheffes de files dans les territoiresLe rapport invite les régions à accentuer leur rôle d'impulsion dans les territoires, par la coordination d'actions par les acteurs régionaux et infra-régionaux et la mise en cohérence de l'ensemble de leurs politiques avec les objectifs climatiques.Le focus réalisé sur les émissions de gaz à effet de serre de chaque région met en évidencela diversité des défis à surmonter pour atteindre la neutralité carbone. Les émissions provenant des transports sont élevées dans toutes les régions. Les émissions provenant des bâtiments sont relativement homogènes sur l’ensemble de la France, malgré les différences de climats. Les émissions provenant de l’agriculture et de l’industrie ont les plus fortes disparités régionales. La région des Hauts-de-France se distingue à ce titre par un secteur industriel dense et fortement émetteur de gaz à effet de serre.Les Observatoires régionaux de l’énergie et du climat contributeurs au rapportLes différents observatoires régionaux membres du RARE (Réseau des Agences Régionales de l’Environnement) ou des Agences Agréées de Surveillance de la Qualité de l’Air (AASQA), ont contribué à ce rapport. Ce travail commun entre agences, a permis des réaliser les infographies, analyses et comparaisons dans la partie sur les émissions de gaz à effet de serre régionales.Ainsi on y retrouve les données de l’Observatoire Climat des Hauts-de-France !Le Haut Conseil pour le Climat, un organisme indépendantCréé par la loi du 8 novembre 2019 relative à l'énergie et au climat, le Haut conseil pour le climat est un organisme indépendant chargé d’émettre des avis et recommandations sur la mise en œuvre des politiques et mesures publiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de la France. Il évalue la cohérence de la stratégie bas-carbone vis-à-vis des politiques nationales et des engagements européens et internationaux de la France, en particulier de l’accord de Paris et de l’atteinte de la neutralité carbone en 2050.Il est actuellement présidé par la climatologue franco-canadienne Corinne Le Quéré et composé de treize membres, désignés pour cinq ans et choisis pour leur expertise scientifique, technique et économique dans le domaine du climat.Le rapport complet, sa version grand public et ses annexes peuvent être téléchargés sur le site du Haut Conseil pour le Climat :https://www.hautconseilclimat.fr/publications/rapport-annuel-2020/
Le Haut conseil pour le climat publie son rapport "Maîtriser l'empreinte carbone de la France", répondant à une saisine du Gouvernement.Ce rapport vise à clarifier les implications des décisions en France sur les émissions liées aux échanges internationaux et à donner des lignes directrices dans l’élaboration d’une stratégie de réduction des émissions importées en identifiant les acteurs en capacité de prendre les décisions concernant ces émissions et les outils dont ils disposent.À 11,5 tonnes de CO2-équivalent par habitant, l’empreinte carbone de la France, composée des émissions importées et des émissions de la production intérieure hors exportations,est environ 70% plus élevée que ses émissions territoriales couvertes parses engagements climatiques actuels. L’empreinte carbone peut être maîtrisée car elle est, pour plus des trois-quarts, liée aux décisions des entreprises et des ménages sur le territoire français. C’est le constat du dernier rapport du Haut conseil pour le climat «Maîtriser l’empreinte carbone de la France», en réponse à une saisine du gouvernement. La contribution de la France au réchauffement climatique ne se limite pas aux émissions de gaz à effet de serre produites sur son territoire –6,7 t éqCO2 par habitant - mais inclut aussi celles produites par ses échanges internationaux: transports, émissions exportées et émissions importées. Ce rapport se penche sur la méthodologie, les causes et les stratégies à mettre en place pour mieux déterminer mais aussi maîtriser l’empreinte carbone des produits importés en France.Retrouvez aussi plus de ressources sur ce rapport (annexes, graphiques, vidéo de présentation) sur le site du Haut Conseil pour le Climat : https://www.hautconseilclimat.fr/publications/maitriser-lempreinte-carbone-de-la-france/
Le Club STEP (Synergies pour la Transition Energétique par la Planification), travaille depuis 2016 sur la question des données énergétiques territoriales; cela a donné lieu à une série de publications (ADEME - Club STEP) «Les données énergétiques territoriales pour la planification et l'action énergie-climat».Ce document permet d'élargir l'analyse autour de l'utilisation de données afin d'aider les territoires dans la construction de leurs stratégies et politiques territoriales. Il propose un éclairage et des recommandations opérationnelles concernant l'élaboration et la mise en oeuvre d'indicateurs territoriaux liés aux enjeux Climat-Air-Énergie (éléments de langage, méthodologies, périmètres, comptabilisation, etc.), suivant cinq thématiques : 1. Consommations d'énergie ; 2. Production d'énergies renouvelables ; 3. Émissions de gaz à effet de serre ; 4. Séquestration de carbone ;5. Qualité de l'air extérieur.
Dans le but de limiter le recours aux énergies fossiles et ainsi de freiner le réchauffement climatique, les filières de production d'énergie renouvelable sont en plein essor grâce aux politiques publiques mises en place en France et dans le monde. Les baisses passées et futures des coûts de production des technologies EnR alimentent de nombreux débats.Afin d'apporter des éléments factuels à ces débats, l'ADEME réalise ce document présentant : les plages de variations des coûts de production actuels de chaque filière EnR en France de l'électricité (photovoltaïque, éolien terrestre, éolien en mer, hydrolien, petite hydroélectricité, géothermie profonde de haute énergie) production de chaleur chez le particulier (bois énergie, solaire thermique individuel, pompes à chaleur individuelles) production de chaleur collective et industrielle (biomasse collective, solaire thermique, géothermie) biogaz (cogénération biogaz, injection de biogaz) stockage de l'électricité coûts de production des technologies solaires en ZNI montre les évolutions passées (2008-2018) et futures (2018-2050) lorsque la donnée est disponible, pour certaines filières, une comparaison internationale est réalisée pour les coûts actuels.
Conformément aux missions qui lui sont confiées par la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, RTE élabore et publie chaque année un Bilan électrique, qui dresse une vision globale du système électrique sur l’année écoulée. RTE dresse également un bilan région par région. En 2019, la consommation d’énergie électrique en Hauts-de-France a atteint 46,5 TWh (corrigée des effets météorologiques). Elle est relativement stable depuis plusieurs années même si l’on peut observer une légère baisse (-1%), en cohérence avec celle observée au niveau national. Cette baisse s’explique par différents facteurs notamment lerenforcement des actions d’efficacité énergétique mais également un ralentissement de la croissance économique et la présence de différents mouvements sociaux en fin d’année.En 2019, 52,5 TWh d’énergie électrique ont été produits, au plus haut depuis 2008. C’est 0,7 TWh de plus qu’en 2018 soit une augmentation de 1,5%.Les énergies renouvelables, dans leur ensemble, ont représenté 20% de la production du mix énergétique régional en 2019 contre 15,5% en 2018.
La 5ème édition du « Panorama du gaz renouvelable » est une actualisation des données des opérateurs de réseaux enregistrées en France au 31 décembre 2019. Cette publication annuelle présente des indicateurs de la filière sous forme d’infographies. Toutes les informations sont mises en regard des ambitions françaises de production de gaz renouvelable pour les années à venir.Ce panorama comprend les actualités de la filière, les aspects économiques et réglementaires, un volet européen et la présentation des projets d’injection de biométhane.En 2019, le parc a dépassé le seuil symbolique de 1 TWh de production réelle injectée dans le réseau de gaz naturel français, pour atteindre 1,2 TWh fin 2019, contre 0,71 TWh fin 2018. La capacité maximale annuelle d’injection atteint, quant à elle, 2,1 TWh fin 2019, contre 1,2 TWh fin 2018.