Dans cette rubrique, vous trouverez des données à l'échelle de votre territoire (Département, SCOT, Pays/PETR, PNR, EPCI ou commune).
En complément vous pouvez également accéder à la page open-data qui permet de télécharger d'une manière différente les données produites par l'Observatoire Climat (fichiers csv / copie d'url).
Il est conseillé de consulter au préalable la notice d'utilisation pour une utilisation facilitée de cette rubrique!
Pour connaître la liste complète de nos indicateurs actuellement en ligne et savoir si l’échelle territoriale recherchée est disponible, cliquez ici.
L'évolution des températures, moyennes ou extrêmes, est le signal le plus clair du chan...
Cet indicateur concerne le gisement net en photovoltaïque par commune. Ce gisement comp...
La donnée présentée est la hauteur du niveau annuel moyen de la mer pour une station do...
La phénologie étudie les cycles biologiques et leurs liens avec les conditions climatiq...
Cet indicateur s'intéresse à l'évolution des populations d'espèces d'oiseaux les plus s...
Cet indicateur s'intéresse à l'évolution des populations d'espèces d'oiseaux les plus s...
Ces "activités vertes" sont définies comme produisant des biens ou services a...
L'artificialisation des sols est notablement dûe au phénomène d'étalement urbain. Cette...
Ce jeu de données permet de représenter l'état des pratiques de mobilité des habitants...
Le biogaz est un gaz combustible naturel provenant de la fermentation, en l’absence d’o...
Le rapport annuel 2022 du Haut Conseil pour le Climat fait le point sur l’évolution des émissions de gaz à effet de serre, la mise en œuvre des politiques publiques climatiques, les leviers pour l’action climatique en France, les impacts du changement climatique et des politiques d’adaptation. Il présente également les recommandations du Haut Conseil pour le Climat.
S’adapter aux impacts du changement climatique n’est pas simple et le sujet peut effrayer. Effrayer par l’ampleur et la sévérité des impacts dont nous entendons parler dans les médias et effrayer par la complexité des solutions. La prospective permet, pas à pas, de répondre à ces inquiétudes, notamment avec l’aide des services climatiques et avis d’experts dont nous disposons en France. Elle permet également de développer les pistes d’action adaptées à chaque cas.Chaque situation est en effet différente, chaque acteur, qu’il soit ministère, territoire, ville, commune, agence de bassin, grand réseau d’infrastructures, filière économique, entreprise, citoyen, public ou privé, individuel ou collectif, est concerné et met en œuvre les solutions qui lui conviennent.Le présent rapport montre, de manière aussi concrète que possible, des démarches et outils de prospective qui sont à votre disposition avant de les compléter par des exemples d’acteurs publics et privés qui s’y sont déjà engagés et qui, pour certains, mettent actuellement en œuvre les solutions qu’ils ont développées.La prospective permet d’anticiper comment et quand ils ont intérêt à agir. Comment, pour éviter les effets négatifs et identifier les opportunités de développement, et quand, puisque ces solutions ont souvent besoin d’un temps de concertation, de préparation et de mise en œuvre important. Ainsi, la prospective est un outil précieux au service de l’adaptation au changement climatique.
Ce plan d’action transfrontalier a été conçu conjointement par le Comté du Kent et le Département du Pas-de-Calais, partenaires du projet PASSAGE, et de nombreux acteurs impliqués sur chaque côté du Détroit du Pas de Calais/de Douvres.Le projet PASSAGE vise à développer une transition bas-carbone à l’échelle de 6 détroits européens et cinq régions frontalières maritimes. Ce plan d’action vise à accélérer la transition bas-carbone sur le Détroit du Pas de Calais/de Douvres, sur la base des éléments mis en évidence par l’étude sur les émissions carbonées développée par le cabinet I Care & Consult dans le cadre du projet PASSAGE. Après avoir défini le périmètre fonctionnel du détroit sur la base de ses principales activités, l’étude propose une évaluation des émissions générées par type d’activité. Parmi ces activités figurent d’un côté des activités propres à tout territoire et non spécifiques à un détroit (activités industrielles, urbaines et touristiques) ; de l’autre figurent les activités plus spécifiquement générées par le détroit, à savoir : - Les activités portuaires - Le trafic maritime - Le trafic lié au Tunnel sous la Manche - Le trafic terrestre (routier, ferroviaire, fluvial) généré par les ports et le tunnel.L’étude met pour la première fois en évidence que ce deuxième type d’activités, spécifiques au détroit du Pas de Calais/de Douvres, représente 31% du total des émissions émises dans la zone du détroit.
Le principe de la géothermie est de récupérer l’énergie disponible sous la surface de la terre pour l’utiliser. Plus globalement, ce terme peut concerner la ressource et ses caractéristiques, et les méthodes mises en œuvre pour son exploitation. Dans certains cas, on utilise également l’inertie thermique et le fait que la température du sol subit moins de variation saisonnière que la température de surface.Suite à la crise sanitaire liée au COVID-19, le Plan de relance de l’économie française est une opportunité pour donner une impulsion significative au développement des énergies renouvelables. La mise en place, il y a plus de 10 ans, du Fonds chaleur par l’ADEME a permis à la filière géothermie de ne pas s’éteindre. Face au retard de la géothermie en France, notamment par rapport à ses voisins européens comme la Suisse ou l’Allemagne, la commission géothermie du SER propose, au travers du Fonds chaleur, des actions qui aideront à libérer le plein potentiel de la géothermie dans le mix énergétique renouvelable.
Entre dérèglement climatique, tensions économiques et géopolitiques liées aux ressources énergétiques, aggravation des risques sanitaires et technologiques et précarité énergétique, la France doit rapidement s’orienter vers un nouveau système énergétique. Le scénario négaWatt répond à cet impératif en proposant une trajectoire vers un avenir énergétique souhaitable et soutenable, accompagnée de mesures à mettre en œuvre pour y parvenir. Pour cela, il étudie en détail les différents secteurs de consommation (bâtiment, transport, industrie, agriculture) et de production d’énergie (renouvelables, fossiles, nucléaire) afin d’envisager une évolution possible du système énergétique. Il montre ainsi comment la France peut - en quelques décennies - se passer totalement d’énergies fossiles et nucléaire.Cet exercice de prospective n’inclut aucune rupture technologique, économique ou sociétale. Il a notamment pour but d’inciter et d’aider les décideurs à intégrer les impératifs de long terme dans les décisions de court terme.
Depuis la loi de transition énergétique pour la croissance verte du 17 août 2015, le plan climat-air-énergie territorial : - est obligatoirement élaboré par les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI) de plus de 20 000 habitants au 1er janvier 2017 ; - doit faire l’objet d’une évaluation environnementale, en application de l’article R.122-17 du code de l’environnement ; - fait l’objet d’une évaluation à mi-parcours après 3 ans de mise en œuvre ;- est révisé tous les 6 ans.L’état d’avancement des PCAET dans la région se situe dans la moyenne nationale. En janvier 2023, la grande majorité des territoires obligés ont engagé les travaux. Parmi ceux-ci, 25 ont adopté leur PCAET.A terme, la région Hauts-de-France devrait être en très grande majorité couverte par des PCAET, qui concerneront des milliers d’acteurs socio-économiques et plus de 5 800 000 habitants.Les PCAET ont en effet vocation à regrouper des actions portées par toutes les parties prenantes des territoires (collectivités, entreprises, associations, etc.), l’EPCI qui pilote la démarche étant le moteur du changement de son territoire et le garant, dans la durée, des engagements pris.A consulter, sur cette page : https://www.hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr/?Plans-Climat-Air-Energie-Territoriaux-PCAET-15845 la carte des EPCI obligés d'adopter un PCAET par la loi de transition énergétique pour la croissance verte du 17 août 2015.
Un Parc Naturel Régional est est un territoire rural présentant un patrimoine riche et menacé. Il fait l’objet d’un projet de développement durable fondé sur la protection et la mise en valeur du patrimoine naturel, culturel et paysager de son territoire.La région Hauts-de-France en compte 5 : Le PNR Oise-Pays de France, le PNR Baie de Somme Picardie maritime qui est adossé au Parc Naturel Marin des Estuaires picards et de la mer d'Opale, le PNR de l'Avesnois, le PNR Scarpe Escaut, premier PNR en France créé en 1968, et le PNR Caps et Marais d'Opale.Les 5 PNR de la région Hauts-de-France représentent une surface de 11% de la région.
Les engagements de « neutralité carbone » ou de « net zéro » du secteur privé se multiplient, présentés comme une réponse appropriée pour enrayer le réchauffement climatique et la dégradation écologique qui s’accélèrent sous nos yeux. Pourtant, la neutralité d’une entreprise ne fait l’objet d’aucune définition partagée, malgré de fortes déclarations du secteur non-étatique d’agir en cohérence avec la science. Carbone 4, au travers du projet Net Zero Initiative, propose d’apporter à ce concept une définition normative, associant ambition, transparence et efficacité.LES GRANDS PRINCIPES DU RÉFÉRENTIEL :Le référentiel Net Zero Initiative offre aux organisations une manière de décrire et d’organiser leur action climat en vue de maximiser leur contribution à la neutralité carbone mondiale. Le référentiel se base sur plusieurs principes clés : 1. Le mot « neutralité carbone » (ou « net zéro ») désigne uniquement l’objectif mondial d’équilibrage entre émissions et absorptions. Ce terme ne s’applique pas à une organisation. 2. Les organisations peuvent uniquement contribuer à la trajectoire vers cette neutralité carbone mondiale. 3. Les réductions d’émissions et les émissions négatives (aussi appelées « absorptions ») sont distinguées rigoureusement, et comptées de manière séparée. 4. Le concept de "contribution à la neutralité planétaire" est élargi au champ de la commercialisation de produits et services bas carbone. Les « émissions évitées » sont séparées en deux familles : celles qui correspondent à une réelle baisse absolue du niveau d’émissions, et celles qui ne sont qu’une « moindre augmentation » par rapport à la situation initiale.5. La finance carbone peut déclencher des émissions évitées ou négatives, mais ne peut « annuler » les émissions opérationnelles de l’entreprise. Elle est comptée de manière séparée. Les 3 piliers de la matrice Net zero Initiative sont : - Premier pilier : réduire ses émissions de GES - Deuxième pilier : réduire les émissions des autres- Troisième pilier : augmenter les puits de carbone
Dans un souci de transparence et de mise à disposition des données sur le système électrique qu’il collecte en tant que gestionnaire de réseau de transport d’électricité, RTE élabore et publie chaque année un Bilan Électrique national.Pour ce bilan national 2020, il est à retenir : Une forte baisse de la consommation d’électricité liée aux mesures sanitaires prises pour lutter contre l’épidémie, Une production d’électricité à son plus bas niveau depuis 20 ans, La production d’origine éolienne dépasse celle provenant des centrales au gaz et devient la troisième source de production d’électricité, derrière le nucléaire et l’hydraulique, La production à partir du charbon est désormais très faible, au plus bas depuis 1950, La production d’électricité française est décarbonée à plus de 93%.
Cette publication donne à voir les chiffres de l'emploi et de la formation liés au domaine des transports, mais également des données sur le traffic routier, sur les immatriculations, sur l'accidentologie routière, sur le transport aérien, fluvial ou ferroviaire.